path chir digest (cancer) Flashcards

(83 cards)

1
Q

INTROD: états préK:

  • …représente..%….
  • résultent…
  • il s’agit…
A
  • Le CCR représentent 25 % de l’ensemble des cancers digestifs.
  • Résultent souvent de la transformation d’une tumeur épithéliale bénigne = polype adénomateux.
  • Il s’agit surtout des adénocarcinomes +++.
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2
Q

INTROD: états préK:

  • ….+++
  • ttt
A
  • La coloscopie est l’examen de référence +++.

- Le traitement curatif est chirurgical, aidé par la chimiothérapie.

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3
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR : sont

A

A- Le Polype
B- Formes héréditaires Prédisposant aux cancers colorectaux :
1- Polypose adénomateuse familiale (PAF)
2- Syndrome de LYNCH = HNPCC
3- Syndrome de MAP
4- Polyposes hamartomateuses
C- Colites inflammatoires

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4
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR : A- Le Polype =…

  • les plus fréq…
  • en …on peut décrire…
A
  • Il s’agit d’une tumeur bénigne épithéliale.
  • Les plus fréquents sont les polypes adénomateux (il existe aussi des polypes hyperplasiques mais qui ne sont pas à risque de dégénerescence).
  • En endoscopie, on peut décrire plusieurs formes d’adénome :
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5
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR : A- Le Polype :

- En endoscopie, on peut décrire plusieurs formes d’adénome :

A
  • En endoscopie, on peut décrire plusieurs formes d’adénome :
    • Sessile : polype avec une base large.
    • Pédiculé : polype en hauteur, pédiculé sur une petite surface.
    • Plan : adénome dont l’épaisseur ne dépasse pas le double de celle de la muqueuse saine.
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6
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR : A- Le Polype :
(concernant le transformation)++
-
-

A
  • Le délai de transformation varie entre 5 et 20 ans.
  • Principaux facteurs de transformation maligne :
    • Taille > 1 cm.
    • Contingent villeux > 25 %.
    • Présence de dysplasie de haut grade.
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7
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR : A- Le Polype :Réflexe :

A

Rôle primordial de la coloscopie et de l’exérèse de tout polype avec examen anatomopathologique +++.

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8
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR : 1- Polypose adénomateuse familiale (PAF) =

A
  • Ce fut le premier syndrome clairement identifié d’abord endoscopiquement, avec des milliers de polypes le long du cadre colique, puis génétiquement avec l’identification du gène APC sur le chromosome 5.
  • Syndrome de transmission autosomique dominante.
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9
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR : 1- Polypose adénomateuse familiale (PAF) :

  • le dg…..qui révèle…
  • …++
A
  • Le diagnostic est suspecté par l’histoire familiale et par les données de la coloscopie qui révèle un « tapis » de polypes le long du colon.
  • Recto-sigmoïdoscopie annuelle dès la puberté (10 – 12 ans) chez un membre d’une famille de PAF ayant la
    mutation.
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10
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR : 1- Polypose adénomateuse familiale (PAF) : ttt

A
  • Le Traitement de la polypose colique doit être assez vite au cours de la vie….: chirurgie aux alentours de
    15-25 ans
    • Habituellement : colo-proctectomie totale avec anastomose iléo-anale.
    • Si pas ou très peu de polypes dans le rectum : Colectomie totale avec anastomose iléo-rectale.
    • Surveillance annuelle du réservoir iléal ou du rectum restant +++.
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11
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR : 1- Polypose adénomateuse familiale (PAF) : Dégénérescence…

A
  • Dégénérescence maligne constante au-delà de 30 ans.
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12
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR :
2- Syndrome de LYNCH =….
-…

A

= HNPCC (cancer colorectal héréditaire sans polypose) :

- Syndrome de transmission autosomique dominante.

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13
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR :

2- Syndrome de LYNCH: Critères de diagnostic =

A

Critères d’AMSTERDAM :
Au moins 3 cas de cancer du spectre HNPCC (colon, rectum, endomètre, grêle, voies urinaires excretrices: bassinet, uretère) :
• Un doit être lié au premier degré avec les deux autres.
• Deux générations successives doivent être touchées.
• Un cas doit être diagnostiqué avant 50 ans.
• La PAF doit être exclue.
• Les tumeurs doivent être confirmées par un anatomopathologiste.

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14
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR :

2- Syndrome de LYNCH: …..dépistage à partir de …

A
  • Chez un patient membre d’une famille HNPCC = Coloscopie de dépistage à partir de 20 – 25 ans puis tous les 2 ans.
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15
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR :

3- Syndrome de MAP =

A

(MYH Associated Polyposis) :

- Syndrome héréditaire de transmission autosomique récessive.

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16
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR :

3- Syndrome de MAP: ttt

A
  • Chirurgie prophylactique si les polypes deviennent trop nombreux. L’intervention de choix est la colo-proctectomie totale avec anastomose iléo-anale. Une conservation du rectum après une colectomie totale et anastomose iléo- rectale est possible si rectum indemne.
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17
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR :

4- Polyposes hamartomateuses : sont

A

autosomiques dominantes

  • Maladie de Peutz-Jeghers
  • Polypose juvénile
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18
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR :

4- Polyposes hamartomateuses : - Maladie de Peutz-Jeghers :

A
  • Mutation du gène STK11 (= LKB1)
  • Associe une lentiginose péri-orificielle
  • Risque de cancer du côlon, grêle, pancréas, ovaires
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19
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR :

4- Polyposes hamartomateuses :- Polypose juvénile :

A

• Mutation des gènes SMAD4 et BMPRA1

Risque de CCR : 20%

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20
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR :
C- Colites inflammatoires :
-le risque…
- surv…

A

recto-colite hémorragique et Crohn.

  • Le risque est d’autant plus élevé que l’atteinte colique est étendue et que l’évolution est avancée (le risque apparait après dix ans d’évolution).
  • Surveillance par coloscopie +++.
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21
Q

CONCLUSION :ETATS PRECANCEREUX DES CCR :

A
  • CCR = 4ème cause de mortalité par cancer dans le monde.
  • Dépistage, surveillance et traitements des états précancéreux +++.
  • Tout polype doit être réséqué + examen anatomopathologique.
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22
Q

PLAN: ETATS PRECANCEREUX DES CCR :

A

INTROD: gener
ETATS PRECANCEREUX DES CCR
conc

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23
Q
INTROD: K Bas rectum : 
-
-bas rectum=
-se développe...
-PEC...
A
  • Cancer digestif fréquent.
  • Bas rectum : < 2cm du bord supérieur du sphincter (0– 5 cm de la marge anale).
  • Se développe sur un polype : dépistage possible.
  • Prise en charge pluri-disciplinaire.
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24
Q

K Bas rectum : Dg : A- Signes d’appel : sont

A
  • Syndrome Rectal +++ :
  • Incontinence anale.
  • Syndrome hémorroïdaire, fissuraire.
  • Troubles du transit.
  • Rectorragies, syndrome anémique.
  • Autres :
    • Complications :
    • Stade avancé :
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25
K Bas rectum : Dg : A- Signes d’appel : | - Syndrome Rectal +++ =
* Faux besoins (exonération n’aboutissant qu’à l’émission de glaires) * Epreintes (douleurs à type de colique précédant la défécation) * Ténesmes (sensation de plénitude douloureuse rectale)
26
K Bas rectum : Dg : A- Signes d’appel : - Autres : | • Complications =
``` rarement inaugurales.  Occlusion, perforation diastatique.  Péritonite ou abcès péri-rectal.  Fistule recto-vaginale ou recto-vésicale (fécalurie, pneumaturie).  Hémorragie de grande abondance ```
27
K Bas rectum : Dg : A- Signes d’appel : - Autres : | • Stade avancé :
altération de l’état général, sciatalgies, métastases.
28
K Bas rectum : Dg : B- Examen clinique : | 1- Interrogatoire :
- Age, ATCD personnels et familiaux de polypes et/ou de cancer colorectal.
29
K Bas rectum : Dg : B- Examen clinique : 2- Clinique : | constituants
- Souvent pauvre. - Examen abdominal : - Inspection périnéale : - Toucher rectal
30
K Bas rectum : Dg : B- Examen clinique : 2- Clinique : | - Examen abdominal :
* Ascite. * Foie métastatique. * Adénopathies inguinales.
31
K Bas rectum : Dg : B- Examen clinique : 2- Clinique : | - Inspection périnéale :
parfois envahissement anal ou vaginal ou fistule anale associée.
32
K Bas rectum : Dg : B- Examen clinique : 2- Clinique : | - Toucher rectal ++ =
- Toucher rectal (fondamental) = Perception de la tumeur +++. • Sang rouge sur le doigtier. • Mobilité tumorale, localisation et distance par rapport à la marge anale et au sphincter anal. • Tonicité sphinctérienne.
33
K Bas rectum : Dg : C- Paraclinique : sont
1- Rectoscopie – coloscopie : 2- Echo-endoscopie : 3- Lavement opaque : 4- TDM, IRM, Marqueurs tumoraux (ACE) pour la surveillance +++.
34
K Bas rectum : Dg : C- Paraclinique : | 1- Rectoscopie – coloscopie :
- Examen diagnostique de référence - Aspect de la lésion et localisation par rapport à la marge anale. - Réalise des biopsies. - Identifie les lésions associées.
35
K Bas rectum : Dg : C- Paraclinique : 2- Echo-endoscopie :
- 5 couches. - Permet de classer la tumeur. - Recherche des adénopathies. - Intérêt : Les cancers T1 (ne dépassant pas la sous-muqueuse) n'entraînent qu'une résection locale de la paroi.
36
K Bas rectum : Dg : C- Paraclinique : | 3- Lavement opaque :
- Place très restreinte: recto-coloscopie incomplète ou difficilement réalisable.
37
K Bas rectum : BILAN D’EXTENSION : constituants++
- Examen clinique complet : - Dosage de l’ACE. - Colonoscopie complète : - Echographie abdominale : - Rx pulmonaire F + P : - TDM TAP : - IRM hépatique. - IRM pelvienne +++. - Echo-endoscopie ano-rectale. - Examens complémentaires en fonction de la clinique. - Bilan biologique (NFS + Bilan hépatique). - PET scan.
38
K Bas rectum : BILAN D’EXTENSION : | - Examen clinique complet :
métastases hépatiques, adénopathie de troisier, adénopathies inguinales, ascite, nodule de carcinose.
39
K Bas rectum : BILAN D’EXTENSION : | - Colonoscopie complète :
lésions synchrones.
40
K Bas rectum : BILAN D’EXTENSION : | - Echographie abdominale :
* Métastases hépatiques. | * Peut être complémentaire au scanner si doute diagnostique.
41
K Bas rectum : BILAN D’EXTENSION : | - Rx pulmonaire F + P :
moins systématique depuis la réalisation du scanner thoraco-abdomino pelvien.
42
K Bas rectum : BILAN D’EXTENSION : - TDM TAP :
``` • Examen de référence +++. • Extension générale : principalement les métastases hépatiques : nombre, pulmonaires, carcinose péritonéale. • Extension loco-régionale. • Peut également localiser la tumeur. ```
43
K Bas rectum : TRAITEMENT : constituants
``` A- Bilan pré-thérapeutique d’opérabilité +++. B- Curatif : C- TTT adjuvant : D- Palliatif : E- Préventif : ```
44
K Bas rectum : TRAITEMENT : B- Curatif =
- Tumeur du bas rectum avec ou sans envahissement sphinctérien. - Radiothérapie pré-opératoire : - Chirurgie : - Radio-chimiothérapie (+ 5-FU) :
45
K Bas rectum : TRAITEMENT : B- Curatif: | - Radiothérapie pré-opératoire :
* associée à la chimiothérapie 5FU Xeloda® Capecitabine (5FU oral) : si N+.  = RCC. * Diminue le volume tumoral et les récidives. * Augmente la résécabilité et les chances de préserver le sphincter anal. * Modalités :
46
K Bas rectum : TRAITEMENT : B- Curatif: | - Radiothérapie pré-opératoire : • Modalités : +++
 Au long court : 45 Gy sur 5 semaines  Protocole intermédiaire : 39 Gy sur 3 semaines ....: Chirurgie après 6 semaines. "(les 2 cas)"  Protocole court suédois (25 Gy sur 1 semaine) avec chirurgie 7 jours après la fin de la radiothérapie.
47
K Bas rectum : TRAITEMENT : B- Curatif: - Chirurgie :
• Premier temps = exploration abdominale. • Ligature haute et première des vaisseaux mésentériques inférieurs. • Curage ganglionnaire mésentérique inférieur. • TME = total mesorectal exision = résection totale du mesorectum emportant le rectum, avec marge de sécurité de 1 cm.  Amputation abdomino-périnéale : . Emportant rectum, canal anal, mésorectum et sphincter anal. . Colostomie terminale iliaque gauche définitive ou périnéale pseudo-continente.  Résection inter-sphincterienne.  Résection antérieure du rectum avec TME. + Anastomose colo-anale +/- réservoir.
48
K Bas rectum : TRAITEMENT : B- Curatif: | - Radio-chimiothérapie (+ 5-FU) :
si N+.
49
K Bas rectum : TRAITEMENT : C- TTT adjuvant = | +++
``` = si N+. En fonction des facteurs pronostic. - Chimiothérapie : protocoles (FUFOLn FOLFOX, FOLFIRI, FOLFIRINOX) + - Antiangiogéniques : ex (avastin). ```
50
K Bas rectum : TRAITEMENT : D- Palliatif =
 Chimiothérapie.  Radiothérapie d’hémostase. - Tumeur inextirpable :
51
K Bas rectum : TRAITEMENT : D- Palliatif: - Tumeur inextirpable :
* Electrocoagulation par voie trans-anale. | * Colostomie iliaque gauche devant une incontinence ou une tumeur sténosante.
52
K Bas rectum : TRAITEMENT : E- Préventif :
- Alimentation riche en fibres, calcium et vitamines. - Dépistage de masse âge > 50 ans: - Traitement adapté des états précancéreux et surveillance régulière.
53
K Bas rectum : TRAITEMENT : E- Préventif : | - Dépistage de masse âge > 50 ans: par
* Recherche de sang dans les selles (Test Hémocult). | * Coloscopie.
54
CONCLUSION :K Bas rectum : - PEC... - ...majeur... - ...prise... - TTT...
- Prise en charge thérapeutique multidisciplinaire. - Rôle majeur de la chirurgie. - Prise en compte de la qualité de vie. - TTT des CCR métastatiques = même que le CCR + TTT des métastases des CCR.
55
PLAN: K Bas rectum :
``` INTROD: def+gener Dg (sign d'appel+ex clin+paraclin) Bilan d'extension TTT conc ```
56
INTROD: K de l'oesoph: - ...est... - ...est svt... - Dg: - ...+++
- Le cancer de l’œsophage est fréquent. - La dysphagie est souvent le premier signe révélateur et qui témoigne d’une tumeur évoluée. - Diagnostic : souvent tardif. - La lutte contre l’intoxication alcoolo tabagique+++
57
K de l'oesoph: EPIDEMIO : -incidence... - -Cette incidence....
- L’incidence du cancer de l’œsophage est estimée à 5000 nouveaux cas par an en France. - 3èmecancer digestif - Cette incidence varie d’une population à l’autre. . Augmente avec l’exposition aux FDR. . Régions à haut risque : . Régions à faible risque :
58
K de l'oesoph: EPIDEMIO : . Régions à haut risque :
Chine, France, Afrique du sud
59
K de l'oesoph: EPIDEMIO : . Régions à faible risque :
Sénégal, Russie.
60
K de l'oesoph: EPIDEMIO : -age... -..sexe.... -
- Age moyen de survenue est 60 ans. Risque augmente avec l’âge. - Une légère prédominance masculine. L’incidence connaît une croissance dans le sexe féminin. - Bas niveaux socio-économique.
61
K de l'oesoph: EPIDEMIO : - FDR : sont
. Facteurs exogènes. . Lésions précancéreuses. . Pathologies associées
62
K de l'oesoph: EPIDEMIO : - Facteurs exogènes :
. Intoxication alcoolo tabagique : tabac et alcool sont des FDR indépendants. Leur association multiplie le risque de cancer de l’œsophage. . Alimentation : type, mode de conservation et de préparation. - Rôle protecteur : - Rôle favorisant : . Autres : radiations ionisantes, aliments chauds, contact avec les métaux lourds traumatismes chroniques
63
K de l'oesoph: EPIDEMIO : - Facteurs exogènes : | - Rôle protecteur :
fruits, légumes, poissons et viandes frais
64
K de l'oesoph: EPIDEMIO : - Facteurs exogènes : | - Rôle favorisant :
carence en vitamines, nitrosamines
65
K de l'oesoph: EPIDEMIO : - Lésions précancéreuses
. Endobrachyoesophage= œsophage de Barrett : métaplasie secondaire au reflux œsogastrique chronique. . Mégaoesophage idiopathique (achalasie). . Sténose caustique : brûlure de l’œsophage secondaire à l’ingestion d’un caustique Œsophagite chronique -dysplasie de grade croissant-dysplasie de haut grade–cancer
66
K de l'oesoph: EPIDEMIO : - Pathologies associées
(Association préférentielle avec certains cancers). . Bronches, ORL . Survenue synchrone ou métachrone
67
K de l'oesoph: CIRCONSTANCES Dg : | Dans les stades avancés
(souvent) : - Dysphagie, progressive, persistante. Au début, il peut s’agir d’un simple accrochage intermittent à la déglutition des aliments solides. - Altération de l’état général : anorexie, asthénie, amaigrissement - Régurgitations, hoquet, haleine fétide liée à la stase alimentaire.
68
K de l'oesoph: CIRCONSTANCES Dg : ou devant
Plus rarement devant : - Epigastralgies ou odynophagie - Douleur rétro-sternale ou interscapulaire - Manifestations broncho-pulmonaires (toux lors de la déglutition, due à une fistule ou à des fausses routes). - Dysphonie suggérant une atteinte récurrentielle - Adénopathie sus-claviculaire ou cervicale - Epanchement pleural ou péricardique - Hémorragie digestive.
69
K de l'oesoph: CIRCONSTANCES Dg : | Découverte en l’absence de tout symptôme spécifique :
- Bilan initial ou du suivi à distance d’un cancer des voies aéro-digestives supérieures - Bilan d’une cirrhose alcoolique.
70
K de l'oesoph: CIRCONSTANCES Dg : +++
Toute suspicion diagnostic de cancer de l’œsophage justifie une endoscopie œsogastrique avec biopsies
71
K de l'oesoph: FORMES CLINIQUES : sont
A-Topographiques : B-Formes anatomo-pathologiques : C-formes compliqué :
72
K de l'oesoph: FORMES CLINIQUES : A-Topographiques : | sont
- Cancer du tiers supérieur : - Cancer du tiers moyen : - Cancer du tiers inférieur :
73
K de l'oesoph: FORMES CLINIQUES : A-Topographiques : - Cancer du tiers supérieur :
Dysphagie est haute, fausses routes, pneumopathies fréquentes.
74
K de l'oesoph: FORMES CLINIQUES : A-Topographiques :- Cancer du tiers moyen :
un carcinome épidermoïde du tiers moyen de l’œsophage, c’est la forme typique.
75
K de l'oesoph: FORMES CLINIQUES : A-Topographiques : - Cancer du tiers inférieur :
un adénocarcinome dû le plus souvent à une dégénérescence d’un endobrachyoesophage.
76
K de l'oesoph: FORMES CLINIQUES : | B-Formes anatomo-pathologiques : sont
1-Macroscopiques : | 2-Microscopiques :
77
K de l'oesoph: FORMES CLINIQUES : B-Formes anatomo-pathologiques : 1-Macroscopiques :
forme infiltrante le plus souvent. | Les tumeurs ulcéro-végétantes ou bourgeonnantes sont plus rares
78
K de l'oesoph: FORMES CLINIQUES : B-Formes anatomo-pathologiques : 2-Microscopiques :
- Carcinome épidermoïde (90%) | - Adénocarcinome (5 à 10%) : sur EBO.
79
K de l'oesoph: FORMES CLINIQUES : C-Formes compliquées : sont
- Hémorragies : | - Fistule oeso-trachéale :
80
K de l'oesoph: FORMES CLINIQUES : C-Formes compliquées : - Hémorragies :
souvent occulte avec anémie hyposidérémique, hématémèse et méléna sont possibles. Une hémorragie digestive foudroyante témoigne d’une fistule aorto-oesophagienne.
81
K de l'oesoph: FORMES CLINIQUES : C-Formes compliquées : - Fistule oeso-trachéale :
elle se manifeste par une toux ou une dyspnée aigue à chaque ingestion alimentaire. Les infections pulmonaires sont fréquentes. Diagnostic : transit aux hydrosolubles (baryte contre-indiquée en cas de suspicion de fistule) et fibroscopies œsophagienne et bronchique.
82
CONCLUSION : K de l'oesoph:
- Malgré le développement du traitement curatif du cancer de l’œsophage (radio-chimiothérapie et chirurgie) son pronostic reste sombre - L’amélioration de ces résultats passe par une PEC précoce et la lutte contre les FDR (intoxication alcoolo- tabagique) .
83
PLAN: K de l'oesoph:
``` introd: gener epidemio circonstances Dg formes cliniq conclusion ```