path chir digest (cancer) Flashcards

1
Q

INTROD: états préK:

  • …représente..%….
  • résultent…
  • il s’agit…
A
  • Le CCR représentent 25 % de l’ensemble des cancers digestifs.
  • Résultent souvent de la transformation d’une tumeur épithéliale bénigne = polype adénomateux.
  • Il s’agit surtout des adénocarcinomes +++.
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2
Q

INTROD: états préK:

  • ….+++
  • ttt
A
  • La coloscopie est l’examen de référence +++.

- Le traitement curatif est chirurgical, aidé par la chimiothérapie.

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3
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR : sont

A

A- Le Polype
B- Formes héréditaires Prédisposant aux cancers colorectaux :
1- Polypose adénomateuse familiale (PAF)
2- Syndrome de LYNCH = HNPCC
3- Syndrome de MAP
4- Polyposes hamartomateuses
C- Colites inflammatoires

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4
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR : A- Le Polype =…

  • les plus fréq…
  • en …on peut décrire…
A
  • Il s’agit d’une tumeur bénigne épithéliale.
  • Les plus fréquents sont les polypes adénomateux (il existe aussi des polypes hyperplasiques mais qui ne sont pas à risque de dégénerescence).
  • En endoscopie, on peut décrire plusieurs formes d’adénome :
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5
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR : A- Le Polype :

- En endoscopie, on peut décrire plusieurs formes d’adénome :

A
  • En endoscopie, on peut décrire plusieurs formes d’adénome :
    • Sessile : polype avec une base large.
    • Pédiculé : polype en hauteur, pédiculé sur une petite surface.
    • Plan : adénome dont l’épaisseur ne dépasse pas le double de celle de la muqueuse saine.
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6
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR : A- Le Polype :
(concernant le transformation)++
-
-

A
  • Le délai de transformation varie entre 5 et 20 ans.
  • Principaux facteurs de transformation maligne :
    • Taille > 1 cm.
    • Contingent villeux > 25 %.
    • Présence de dysplasie de haut grade.
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7
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR : A- Le Polype :Réflexe :

A

Rôle primordial de la coloscopie et de l’exérèse de tout polype avec examen anatomopathologique +++.

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8
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR : 1- Polypose adénomateuse familiale (PAF) =

A
  • Ce fut le premier syndrome clairement identifié d’abord endoscopiquement, avec des milliers de polypes le long du cadre colique, puis génétiquement avec l’identification du gène APC sur le chromosome 5.
  • Syndrome de transmission autosomique dominante.
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9
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR : 1- Polypose adénomateuse familiale (PAF) :

  • le dg…..qui révèle…
  • …++
A
  • Le diagnostic est suspecté par l’histoire familiale et par les données de la coloscopie qui révèle un « tapis » de polypes le long du colon.
  • Recto-sigmoïdoscopie annuelle dès la puberté (10 – 12 ans) chez un membre d’une famille de PAF ayant la
    mutation.
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10
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR : 1- Polypose adénomateuse familiale (PAF) : ttt

A
  • Le Traitement de la polypose colique doit être assez vite au cours de la vie….: chirurgie aux alentours de
    15-25 ans
    • Habituellement : colo-proctectomie totale avec anastomose iléo-anale.
    • Si pas ou très peu de polypes dans le rectum : Colectomie totale avec anastomose iléo-rectale.
    • Surveillance annuelle du réservoir iléal ou du rectum restant +++.
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11
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR : 1- Polypose adénomateuse familiale (PAF) : Dégénérescence…

A
  • Dégénérescence maligne constante au-delà de 30 ans.
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12
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR :
2- Syndrome de LYNCH =….
-…

A

= HNPCC (cancer colorectal héréditaire sans polypose) :

- Syndrome de transmission autosomique dominante.

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13
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR :

2- Syndrome de LYNCH: Critères de diagnostic =

A

Critères d’AMSTERDAM :
Au moins 3 cas de cancer du spectre HNPCC (colon, rectum, endomètre, grêle, voies urinaires excretrices: bassinet, uretère) :
• Un doit être lié au premier degré avec les deux autres.
• Deux générations successives doivent être touchées.
• Un cas doit être diagnostiqué avant 50 ans.
• La PAF doit être exclue.
• Les tumeurs doivent être confirmées par un anatomopathologiste.

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14
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR :

2- Syndrome de LYNCH: …..dépistage à partir de …

A
  • Chez un patient membre d’une famille HNPCC = Coloscopie de dépistage à partir de 20 – 25 ans puis tous les 2 ans.
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15
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR :

3- Syndrome de MAP =

A

(MYH Associated Polyposis) :

- Syndrome héréditaire de transmission autosomique récessive.

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16
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR :

3- Syndrome de MAP: ttt

A
  • Chirurgie prophylactique si les polypes deviennent trop nombreux. L’intervention de choix est la colo-proctectomie totale avec anastomose iléo-anale. Une conservation du rectum après une colectomie totale et anastomose iléo- rectale est possible si rectum indemne.
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17
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR :

4- Polyposes hamartomateuses : sont

A

autosomiques dominantes

  • Maladie de Peutz-Jeghers
  • Polypose juvénile
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18
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR :

4- Polyposes hamartomateuses : - Maladie de Peutz-Jeghers :

A
  • Mutation du gène STK11 (= LKB1)
  • Associe une lentiginose péri-orificielle
  • Risque de cancer du côlon, grêle, pancréas, ovaires
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19
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR :

4- Polyposes hamartomateuses :- Polypose juvénile :

A

• Mutation des gènes SMAD4 et BMPRA1

Risque de CCR : 20%

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20
Q

ETATS PRECANCEREUX DES CCR :
C- Colites inflammatoires :
-le risque…
- surv…

A

recto-colite hémorragique et Crohn.

  • Le risque est d’autant plus élevé que l’atteinte colique est étendue et que l’évolution est avancée (le risque apparait après dix ans d’évolution).
  • Surveillance par coloscopie +++.
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21
Q

CONCLUSION :ETATS PRECANCEREUX DES CCR :

A
  • CCR = 4ème cause de mortalité par cancer dans le monde.
  • Dépistage, surveillance et traitements des états précancéreux +++.
  • Tout polype doit être réséqué + examen anatomopathologique.
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22
Q

PLAN: ETATS PRECANCEREUX DES CCR :

A

INTROD: gener
ETATS PRECANCEREUX DES CCR
conc

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23
Q
INTROD: K Bas rectum : 
-
-bas rectum=
-se développe...
-PEC...
A
  • Cancer digestif fréquent.
  • Bas rectum : < 2cm du bord supérieur du sphincter (0– 5 cm de la marge anale).
  • Se développe sur un polype : dépistage possible.
  • Prise en charge pluri-disciplinaire.
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24
Q

K Bas rectum : Dg : A- Signes d’appel : sont

A
  • Syndrome Rectal +++ :
  • Incontinence anale.
  • Syndrome hémorroïdaire, fissuraire.
  • Troubles du transit.
  • Rectorragies, syndrome anémique.
  • Autres :
    • Complications :
    • Stade avancé :
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25
Q

K Bas rectum : Dg : A- Signes d’appel :

- Syndrome Rectal +++ =

A
  • Faux besoins (exonération n’aboutissant qu’à l’émission de glaires)
  • Epreintes (douleurs à type de colique précédant la défécation)
  • Ténesmes (sensation de plénitude douloureuse rectale)
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26
Q

K Bas rectum : Dg : A- Signes d’appel : - Autres :

• Complications =

A
rarement inaugurales.
 Occlusion, perforation diastatique.
 Péritonite ou abcès péri-rectal.
 Fistule recto-vaginale ou recto-vésicale (fécalurie, pneumaturie).
 Hémorragie de grande abondance
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27
Q

K Bas rectum : Dg : A- Signes d’appel : - Autres :

• Stade avancé :

A

altération de l’état général, sciatalgies, métastases.

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28
Q

K Bas rectum : Dg : B- Examen clinique :

1- Interrogatoire :

A
  • Age, ATCD personnels et familiaux de polypes et/ou de cancer colorectal.
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29
Q

K Bas rectum : Dg : B- Examen clinique : 2- Clinique :

constituants

A
  • Souvent pauvre.
  • Examen abdominal :
  • Inspection périnéale :
  • Toucher rectal
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30
Q

K Bas rectum : Dg : B- Examen clinique : 2- Clinique :

- Examen abdominal :

A
  • Ascite.
  • Foie métastatique.
  • Adénopathies inguinales.
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31
Q

K Bas rectum : Dg : B- Examen clinique : 2- Clinique :

- Inspection périnéale :

A

parfois envahissement anal ou vaginal ou fistule anale associée.

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32
Q

K Bas rectum : Dg : B- Examen clinique : 2- Clinique :

- Toucher rectal ++ =

A
  • Toucher rectal (fondamental) = Perception de la tumeur +++.
    • Sang rouge sur le doigtier.
    • Mobilité tumorale, localisation et distance par rapport à la marge anale et au sphincter anal.
    • Tonicité sphinctérienne.
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33
Q

K Bas rectum : Dg : C- Paraclinique : sont

A

1- Rectoscopie – coloscopie :
2- Echo-endoscopie :
3- Lavement opaque :
4- TDM, IRM, Marqueurs tumoraux (ACE) pour la surveillance +++.

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34
Q

K Bas rectum : Dg : C- Paraclinique :

1- Rectoscopie – coloscopie :

A
  • Examen diagnostique de référence
  • Aspect de la lésion et localisation par rapport à la marge anale.
  • Réalise des biopsies.
  • Identifie les lésions associées.
35
Q

K Bas rectum : Dg : C- Paraclinique : 2- Echo-endoscopie :

A
  • 5 couches.
  • Permet de classer la tumeur.
  • Recherche des adénopathies.
  • Intérêt : Les cancers T1 (ne dépassant pas la sous-muqueuse) n’entraînent qu’une résection locale de la paroi.
36
Q

K Bas rectum : Dg : C- Paraclinique :

3- Lavement opaque :

A
  • Place très restreinte: recto-coloscopie incomplète ou difficilement réalisable.
37
Q

K Bas rectum : BILAN D’EXTENSION : constituants++

A
  • Examen clinique complet :
  • Dosage de l’ACE.
  • Colonoscopie complète :
  • Echographie abdominale :
  • Rx pulmonaire F + P :
  • TDM TAP :
  • IRM hépatique.
  • IRM pelvienne +++.
  • Echo-endoscopie ano-rectale.
  • Examens complémentaires en fonction de la clinique.
  • Bilan biologique (NFS + Bilan hépatique).
  • PET scan.
38
Q

K Bas rectum : BILAN D’EXTENSION :

- Examen clinique complet :

A

métastases hépatiques, adénopathie de troisier, adénopathies inguinales, ascite, nodule de carcinose.

39
Q

K Bas rectum : BILAN D’EXTENSION :

- Colonoscopie complète :

A

lésions synchrones.

40
Q

K Bas rectum : BILAN D’EXTENSION :

- Echographie abdominale :

A
  • Métastases hépatiques.

* Peut être complémentaire au scanner si doute diagnostique.

41
Q

K Bas rectum : BILAN D’EXTENSION :

- Rx pulmonaire F + P :

A

moins systématique depuis la réalisation du scanner thoraco-abdomino pelvien.

42
Q

K Bas rectum : BILAN D’EXTENSION : - TDM TAP :

A
• Examen de référence +++.
• Extension générale : principalement les métastases hépatiques : nombre, pulmonaires, carcinose
péritonéale.
• Extension loco-régionale.
• Peut également localiser la tumeur.
43
Q

K Bas rectum : TRAITEMENT : constituants

A
A- Bilan pré-thérapeutique d’opérabilité +++.
B- Curatif :
C- TTT adjuvant : 
D- Palliatif :
E- Préventif :
44
Q

K Bas rectum : TRAITEMENT : B- Curatif =

A
  • Tumeur du bas rectum avec ou sans envahissement sphinctérien.
  • Radiothérapie pré-opératoire :
  • Chirurgie :
  • Radio-chimiothérapie (+ 5-FU) :
45
Q

K Bas rectum : TRAITEMENT : B- Curatif:

- Radiothérapie pré-opératoire :

A
  • associée à la chimiothérapie 5FU Xeloda® Capecitabine (5FU oral) : si N+.  = RCC.
  • Diminue le volume tumoral et les récidives.
  • Augmente la résécabilité et les chances de préserver le sphincter anal.
  • Modalités :
46
Q

K Bas rectum : TRAITEMENT : B- Curatif:

- Radiothérapie pré-opératoire : • Modalités : +++

A

 Au long court : 45 Gy sur 5 semaines
 Protocole intermédiaire : 39 Gy sur 3 semaines
….: Chirurgie après 6 semaines. “(les 2 cas)”
 Protocole court suédois (25 Gy sur 1 semaine) avec chirurgie 7 jours après la fin de la radiothérapie.

47
Q

K Bas rectum : TRAITEMENT : B- Curatif: - Chirurgie :

A

• Premier temps = exploration abdominale.
• Ligature haute et première des vaisseaux mésentériques inférieurs.
• Curage ganglionnaire mésentérique inférieur.
• TME = total mesorectal exision = résection totale du mesorectum emportant le rectum, avec marge de
sécurité de 1 cm.
 Amputation abdomino-périnéale :
. Emportant rectum, canal anal, mésorectum et sphincter anal.
. Colostomie terminale iliaque gauche définitive ou périnéale pseudo-continente.
 Résection inter-sphincterienne.
 Résection antérieure du rectum avec TME.
+ Anastomose colo-anale +/- réservoir.

48
Q

K Bas rectum : TRAITEMENT : B- Curatif:

- Radio-chimiothérapie (+ 5-FU) :

A

si N+.

49
Q

K Bas rectum : TRAITEMENT : C- TTT adjuvant =

+++

A
= si N+.
En fonction des facteurs pronostic.
- Chimiothérapie : protocoles (FUFOLn FOLFOX, FOLFIRI, FOLFIRINOX)
\+
- Antiangiogéniques : ex (avastin).
50
Q

K Bas rectum : TRAITEMENT : D- Palliatif =

A

 Chimiothérapie.
 Radiothérapie d’hémostase.
- Tumeur inextirpable :

51
Q

K Bas rectum : TRAITEMENT : D- Palliatif: - Tumeur inextirpable :

A
  • Electrocoagulation par voie trans-anale.

* Colostomie iliaque gauche devant une incontinence ou une tumeur sténosante.

52
Q

K Bas rectum : TRAITEMENT : E- Préventif :

A
  • Alimentation riche en fibres, calcium et vitamines.
  • Dépistage de masse âge > 50 ans:
  • Traitement adapté des états précancéreux et surveillance régulière.
53
Q

K Bas rectum : TRAITEMENT : E- Préventif :

- Dépistage de masse âge > 50 ans: par

A
  • Recherche de sang dans les selles (Test Hémocult).

* Coloscopie.

54
Q

CONCLUSION :K Bas rectum :

  • PEC…
  • …majeur…
  • …prise…
  • TTT…
A
  • Prise en charge thérapeutique multidisciplinaire.
  • Rôle majeur de la chirurgie.
  • Prise en compte de la qualité de vie.
  • TTT des CCR métastatiques = même que le CCR + TTT des métastases des CCR.
55
Q

PLAN: K Bas rectum :

A
INTROD: def+gener
Dg (sign d'appel+ex clin+paraclin)
Bilan d'extension
TTT
conc
56
Q

INTROD: K de l’oesoph:

  • …est…
  • …est svt…
  • Dg:
  • …+++
A
  • Le cancer de l’œsophage est fréquent.
  • La dysphagie est souvent le premier signe révélateur et qui témoigne d’une tumeur évoluée.
  • Diagnostic : souvent tardif.
  • La lutte contre l’intoxication alcoolo tabagique+++
57
Q

K de l’oesoph: EPIDEMIO :
-incidence…
-
-Cette incidence….

A
  • L’incidence du cancer de l’œsophage est estimée à 5000 nouveaux cas par an en France.
  • 3èmecancer digestif
  • Cette incidence varie d’une population à l’autre.
    . Augmente avec l’exposition aux FDR.
    . Régions à haut risque :
    . Régions à faible risque :
58
Q

K de l’oesoph: EPIDEMIO : . Régions à haut risque :

A

Chine, France, Afrique du sud

59
Q

K de l’oesoph: EPIDEMIO : . Régions à faible risque :

A

Sénégal, Russie.

60
Q

K de l’oesoph: EPIDEMIO :
-age…
-..sexe….
-

A
  • Age moyen de survenue est 60 ans. Risque augmente avec l’âge.
  • Une légère prédominance masculine. L’incidence connaît une croissance dans le sexe féminin.
  • Bas niveaux socio-économique.
61
Q

K de l’oesoph: EPIDEMIO : - FDR : sont

A

. Facteurs exogènes.
. Lésions précancéreuses.
. Pathologies associées

62
Q

K de l’oesoph: EPIDEMIO : - Facteurs exogènes :

A

. Intoxication alcoolo tabagique : tabac et alcool sont des FDR indépendants. Leur association multiplie le
risque de cancer de l’œsophage.
. Alimentation : type, mode de conservation et de préparation.
- Rôle protecteur :
- Rôle favorisant : . Autres : radiations ionisantes, aliments chauds, contact avec les métaux lourds traumatismes chroniques

63
Q

K de l’oesoph: EPIDEMIO : - Facteurs exogènes :

- Rôle protecteur :

A

fruits, légumes, poissons et viandes frais

64
Q

K de l’oesoph: EPIDEMIO : - Facteurs exogènes :

- Rôle favorisant :

A

carence en vitamines, nitrosamines

65
Q

K de l’oesoph: EPIDEMIO : - Lésions précancéreuses

A

. Endobrachyoesophage= œsophage de Barrett : métaplasie secondaire au reflux œsogastrique chronique.
. Mégaoesophage idiopathique (achalasie).
. Sténose caustique : brûlure de l’œsophage secondaire à l’ingestion d’un caustique Œsophagite chronique
-dysplasie de grade croissant-dysplasie de haut grade–cancer

66
Q

K de l’oesoph: EPIDEMIO : - Pathologies associées

A

(Association préférentielle avec certains cancers).
. Bronches, ORL
. Survenue synchrone ou métachrone

67
Q

K de l’oesoph: CIRCONSTANCES Dg :

Dans les stades avancés

A

(souvent) :
- Dysphagie, progressive, persistante. Au début, il peut s’agir d’un simple accrochage intermittent à la déglutition des
aliments solides.
- Altération de l’état général : anorexie, asthénie, amaigrissement
- Régurgitations, hoquet, haleine fétide liée à la stase alimentaire.

68
Q

K de l’oesoph: CIRCONSTANCES Dg : ou devant

A

Plus rarement devant :

  • Epigastralgies ou odynophagie
  • Douleur rétro-sternale ou interscapulaire
  • Manifestations broncho-pulmonaires (toux lors de la déglutition, due à une fistule ou à des fausses routes).
  • Dysphonie suggérant une atteinte récurrentielle
  • Adénopathie sus-claviculaire ou cervicale
  • Epanchement pleural ou péricardique
  • Hémorragie digestive.
69
Q

K de l’oesoph: CIRCONSTANCES Dg :

Découverte en l’absence de tout symptôme spécifique :

A
  • Bilan initial ou du suivi à distance d’un cancer des voies aéro-digestives supérieures
  • Bilan d’une cirrhose alcoolique.
70
Q

K de l’oesoph: CIRCONSTANCES Dg : +++

A

Toute suspicion diagnostic de cancer de l’œsophage justifie une endoscopie œsogastrique avec biopsies

71
Q

K de l’oesoph: FORMES CLINIQUES : sont

A

A-Topographiques :
B-Formes anatomo-pathologiques :
C-formes compliqué :

72
Q

K de l’oesoph: FORMES CLINIQUES : A-Topographiques :

sont

A
  • Cancer du tiers supérieur :
  • Cancer du tiers moyen :
  • Cancer du tiers inférieur :
73
Q

K de l’oesoph: FORMES CLINIQUES : A-Topographiques : - Cancer du tiers supérieur :

A

Dysphagie est haute, fausses routes, pneumopathies fréquentes.

74
Q

K de l’oesoph: FORMES CLINIQUES : A-Topographiques :- Cancer du tiers moyen :

A

un carcinome épidermoïde du tiers moyen de l’œsophage, c’est la forme typique.

75
Q

K de l’oesoph: FORMES CLINIQUES : A-Topographiques : - Cancer du tiers inférieur :

A

un adénocarcinome dû le plus souvent à une dégénérescence d’un
endobrachyoesophage.

76
Q

K de l’oesoph: FORMES CLINIQUES :

B-Formes anatomo-pathologiques : sont

A

1-Macroscopiques :

2-Microscopiques :

77
Q

K de l’oesoph: FORMES CLINIQUES : B-Formes anatomo-pathologiques : 1-Macroscopiques :

A

forme infiltrante le plus souvent.

Les tumeurs ulcéro-végétantes ou bourgeonnantes sont plus rares

78
Q

K de l’oesoph: FORMES CLINIQUES : B-Formes anatomo-pathologiques : 2-Microscopiques :

A
  • Carcinome épidermoïde (90%)

- Adénocarcinome (5 à 10%) : sur EBO.

79
Q

K de l’oesoph: FORMES CLINIQUES : C-Formes compliquées : sont

A
  • Hémorragies :

- Fistule oeso-trachéale :

80
Q

K de l’oesoph: FORMES CLINIQUES : C-Formes compliquées : - Hémorragies :

A

souvent occulte avec anémie hyposidérémique, hématémèse et méléna sont possibles.
Une hémorragie digestive foudroyante témoigne d’une fistule aorto-oesophagienne.

81
Q

K de l’oesoph: FORMES CLINIQUES : C-Formes compliquées : - Fistule oeso-trachéale :

A

elle se manifeste par une toux ou une dyspnée aigue à chaque ingestion alimentaire.
Les infections pulmonaires sont fréquentes.
Diagnostic : transit aux hydrosolubles (baryte contre-indiquée en cas de suspicion de fistule) et fibroscopies
œsophagienne et bronchique.

82
Q

CONCLUSION : K de l’oesoph:

A
  • Malgré le développement du traitement curatif du cancer de l’œsophage (radio-chimiothérapie et chirurgie) son pronostic reste sombre
  • L’amélioration de ces résultats passe par une PEC précoce et la lutte contre les FDR (intoxication alcoolo-
    tabagique) .
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Q

PLAN: K de l’oesoph:

A
introd: gener
epidemio
circonstances Dg
formes cliniq
conclusion