path chir1 (digest) Flashcards

complic UD traum hépatiq traum panduod

1
Q

INTRODUCTION :Complications UD: def=….+ épidemio+complic

A

=L’ulcère duodénal est une perte de substance de la muqueuse duodénale atteignant la musculeuse.

  • Plus fréquent que l’ulcère gastrique
  • plus fréquent chez l’homme
  • habituellement de siège bulbaire.
  • Complications : hémorragie, perforation et sténose pyloro-duodénale.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

UD: COMPLICATIONS AIGUES :A-Hémorragie ulcéreuse =…..

elle est favorisé …+++

A

=complication la plus fréquente, d’origine artérielle ou muqueuse.
-Elle est favorisée par la prise d’aspirine et d’AINS+++

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

UD: COMPLICATIONS AIGUES :A-Hémorragie ulcéreuse: 1-Signes cliniques :

A

hématémèse, Méléna

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

UD: COMPLICATIO2-Signes paracliniques :NS AIGUES :A-Hémorragie ulcéreuse:

A
  • Anémie ferriprive : saignement occulte
  • FOGD : dans un but :
    . Diagnostic (attribuer l’hémorragie à l’ulcère
    . Pronostique (classification de Forrest)
    . Thérapeutique (hémostase endoscopique)
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

UD: COMPLICATIONS AIGUES :A-Hémorragie ulcéreuse: 3-Traitement : constituants

A
  • Mesures de réanimation habituelles
  • TTT curatif
  • mesures associées
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

UD: COMPLICATIONS AIGUES :A-Hémorragie ulcéreuse: 3-Traitement : - Mesures de réanimation habituelles :

A

VVP, remplissage +/-transfusion, libération des VAS et oxygénothérapie, monitorage cardiotensionnel et de la saturation…
. Pose d’une sonde NG et aspiration douce si vomissements incoercibles, laisser à jeun.
. Traitement médical à débuter en urgence même avant FOGD :
IPP en bolus 80mg IVD puis
*Perfusion IVSE 8mg/h pendant 72h en cas d’ulcère
Forrest I, IIa ou IIb
*IPP double dose per os pour les autres scores de
Forrest

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

UD: COMPLICATIONS AIGUES :A-Hémorragie ulcéreuse: 3-Traitement : curatif:

A
  • L’hémostase endoscopique permet souvent d’arrêter l’hémorragie.
    Si échec : discuter l’embolisation artérielle par voie radiologique ou traitement chirurgical (antrectomie avec anastomose gastroduodénale ou gastro-jéjunale selon les constatations peropératoires)
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

UD: COMPLICATIONS AIGUES :A-Hémorragie ulcéreuse: 3-Traitement : mesures associées:

A
  • RHD et arrêt des médicaments gastro agressifs : réduire les récidives.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

UD: COMPLICATIONS AIGUES :B-Perforation : NB++

A

NB : la suspicion d’ulcère perforé est une CI absolue à l’endoscopie OGD+++

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

UD: COMPLICATIONS AIGUES :B-Perforation :

1-Perforation dans….= (CLINIQUE)

A

-dans le péritoine libre : tableau de péritonite aigue généralisée.
. Douleur violente, épigastrique puis diffuse à tout l’abdomen.
. Contracture à la palpation abdominale
. Tympanisme avec perte de la matité pré-hépatique à la percussion abdominale
. Douleur au TR
. Signes de choc

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

UD: COMPLICATIONS AIGUES :B-Perforation : PARACLINIQUE

A

. ASP centré sur les coupoles diaphragmatiques en position debout : pneumopéritoine

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

UD: COMPLICATIONS AIGUES :B-Perforation :

Parfois perforation dans …..

A

Parfois perforation dans un espace cloisonné : ulcère perforé bouché, avec tableau de péritonite localisée.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

UD: COMPLICATIONS AIGUES :B-Perforation :

2-Traitement =

A
  • Urgence chirurgicale+++
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

UD: COMPLICATIONS AIGUES :B-Perforation : 2-Traitement: d’abord:

A
  • Patient à jeun strict

- Bilan préopératoire : consultation d’anesthésie en urgence, groupe sanguin, rhésus, RAI, hémostase.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

UD: COMPLICATIONS AIGUES :B-Perforation : TTT: constituants

A
  • PEC médicale

- Traitement chirurgical le plus souvent

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

UD: COMPLICATIONS AIGUES :B-Perforation :

- PEC médicale :

A

. Aspiration gastrique
. Rééquilibration hydro-électrolytique par voie veineuse.
. Antibiothérapie à large spectre (ex : Augmentin® 1g x 3/j)
. IPP par voie intraveineuse.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
17
Q

UD: COMPLICATIONS AIGUES :B-Perforation :

- Traitement chirurgical le plus souvent :

A

. Voie d’abord : laparotomie ou voie cœlioscopie+++
. Exploration et bilan des lésions
. Prélèvement du liquide pour examen bactériologique
. Toilette péritonéale
- Eradication de l’HP systématique en postopératoire ou après confirmation de l’infection par une sérologie, et traitement de l’ulcère par IPP pour une durée minimale de 6 semaines.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
18
Q

UD: COMPLICATION CHRONIQUE =….=…

A

=sténose pyloro-duodénale (rare)

=Conséquence de la cicatrisation de poussées ulcéreuses localisées au niveau du pylore ou du bulbe.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
19
Q

UD: COMPLICATION CHRONIQUE: clinique:

A
  • Complication rare se manifestant par des vomissements alimentaires, non biliaires, postprandiaux tardifs, clapotage à jeun+++.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
20
Q

UD: COMPLICATION CHRONIQUE: PARAclinique:

A
  • Diagnostic par FOGD et TOGD lorsque la sténose n’est pas franchie par l’endoscope.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
21
Q

UD: COMPLICATION CHRONIQUE: clinique:

- Principal diagnostic différentiel

A

= cancer antral juxta-pylorique =>biopsies+++

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
22
Q

UD: COMPLICATION CHRONIQUE: Traitement :

en 1ère intention :

A

. Traitement médical en 1ère intention : permet de limiter la part inflammatoire de la sténose voire de
soulager le patient.
Le reste de la PEC devient celle d’un ulcère duodénal compliqué.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
23
Q

UD: COMPLICATION CHRONIQUE: Traitement :

En cas d’échec du ttt de 1 ere intention:

A

. En cas d’échec =>traitement endoscopique :

*Biopsies+++ pour éliminer un cancer et dilatation de la sténose au ballonet.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
24
Q

UD: COMPLICATION CHRONIQUE: Traitement :

  • le TTT …. est indiqué en cas de ….
  • consiste en…
A

. Le traitement chirurgical est indiqué en cas d’échecs répétés de la dilation endoscopique. On réalise alors
une antrectomie avec anastomose gastro-jéjunale.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
25
CONCLUSION : complic UD:
L'ulcère duodénal peut évoluer vers des complications en l'absence de traitement, mais malgré un traitement médical bien conduit, ces complications peuvent être de 2 ordres : aigues et chroniques.
26
PLAN: complic UD:
- INTROD: def+epidemio - complic aigues: cl+paracl+ttt - complic chroniques: cl+paracl+ttt - conc
27
INTROD: traum fermé du foie: épidemio
- Observé chez 1/3 des patients ayant un traumatisme abdominal fermé. - Les accidents de la voie publique sont la cause de plus de 75% des traumatismes hépatiques fermés. - Un traumatisme du foie doit toujours être évoqué devant un traumatisme fermé de l’abdomen.
28
Dg :traum fermé du foie: A- Interrogatoire :
1- Traumatisme : - Heure, agent responsable, point d’impact, direction, mécanisme : chute d’un lieu élevé, AVP ... 2- Traumatisé : - âge, tares, ATCD - Signes fonctionnels : syncope, douleurs sous-costales droites, gêne respiratoire.
29
Dg :traum fermé du foie: B- Signes cliniques :
ne sont pas très spécifique : - Fracture des dernières côtes droites évocatrice. - Douleur de l’hypocondre droit voire défense ou contracture avec un abdomen distendu, mat, augmentant rapidement de volume : hémopéritoine massif. - Tous les signes d’instabilité hémodynamiques / choc : hypotension, tachycardie, marbrures, nécessité d’un remplissage massif, oligurie, sueurs ...
30
Dg :traum fermé du foie: C- Paraclinique :+++
Après stabilisation hémodynamique.++ | -Les examens complémentaires systématiques, permettent de suspecter ou de confirmer le diagnostic.
31
Dg :traum fermé du foie: C- Paraclinique
``` 1- Biologie 2- Radiographie thoracique 3- Echographie abdominale 4- TDM 5- Artériographie ```
32
Dg :traum fermé du foie: C- Paraclinique :1- Biologie :
- Anémie en rapport avec la déglobulisation. | - Cytolyse hépatique.
33
Dg :traum fermé du foie: C- Paraclinique : | 2- Radiographie thoracique :
Recherche une fracture des côtes à droite, un épanchement pleural droit, une ascension de la coupole diaphragmatique droite.
34
Dg :traum fermé du foie: C- Paraclinique : | 3- Echographie abdominale :
- Epanchement intra-abdominal (précise le volume, et la localisation de l’hémopéritoine). - Morphologie hépatique (hématome intra-capsulaire, fracture hépatique ...). - Recherche des lésions associées (rate, reins ...).
35
Dg :traum fermé du foie: C- Paraclinique : 4- TDM : role:
Si stabilité hémodynamiques le permet, un scanner avec injection de produit de contraste est indiqué et permet de faire un bilan lésionnel précis. - Confirme l’atteinte hépatique, recherche les lésions associées. - Le scanner permet de classifier la lésion selon Moore (intérêt pronostique +++).
36
Dg :traum fermé du foie: C- Paraclinique : | types de lésions hépatiques :
- Il existe 4 types de lésions hépatiques : * Hématome sous-capsulaire : collection biconvexe hypodense comprimant le parenchyme. * Contusion hépatique : zone hétérogène prenant peu de contraste. * Fracture : ligne hypodense irrégulière au sein du parenchyme. * Lésions vasculaires : peuvent provoquer une dévascularisation du parenchyme hépatique, une extravasation du produit de contraste en cas d’hémorragie active. Elles doivent être évoqués notamment en cas de fracture atteignant le vonfluent cavo-sus hépatique.
37
Dg :traum fermé du foie: C- Paraclinique : | 5- Artériographie :
si un geste de radiologie vasculaire interventionnelle est envisagé.
38
traum fermé du foie: classification: nom=
selon Moore
39
traum fermé du foie: classification: les grades:
6 grades
40
traum fermé du foie: classification: les lésions:
hématome fracture lésions vasculaire
41
traum fermé du foie: classification: grade 1:
- hématome: sous capsulaire < 10% de la surface | - fracture: Capsulaire non hémorragique < 1 cm de profondeur
42
traum fermé du foie: classification: grade 2:
- hématome: sous capsulaire entre 10-50% de la surface ,Profondeur < 2 cm de diamètre. - fracture: parenchymateuse de 1-3 cm de profondeur et <10 cm de longueur
43
traum fermé du foie: classification: grade 3:
-hématome: Sous-capsulaire rompu hémorragique, ou > 50 % de la surface ou expansif Intraparenchymateux > 2 cm de diamètre ou expansif -fracture: parenchymateuse sup à 3 cm de profondeur
44
traum fermé du foie: classification: grade 4:
-hématome: Parenchymateux rompu -fracture: Parenchymateuse‘ de 25 à 75 % d’un lobe
45
traum fermé du foie: classification: grade 5
-fracture: Parenchymateuse > 75 % d’un lobe -lésion vasculaire: Veine cave rétrohépatique ou veines sus-hépatiques centrales
46
traum fermé du foie: classification: grade 6
-lésion vasculaire: avulsion hépatique
47
CONCLUSION :traum fermé du foie:
- L’incidence des traumatismes fermés du foie est élevé , vue la fréquence élevé des accidents de la voie public. - AVP première cause. - 80% sont traités sans intervention.
48
PLAN: traum fermé du foie:
- INTROD: epidemio - Dg: interrog+clin+paraclin - classific - Conc
49
INTROD : traum duopanc: fréquence...+ cause souvent....+ ils peuvent....
- En raison de leur situation rétropéritonéale profonde, pancréas et duodénum sont moins fréquemment touchés au cours des traumatismes d’abdomen. - Souvent agression par arme blanche, AVP violent ou chute à vélo avec impact du guidon dans l’abdomen (enfant). - Ils peuvent passer inaperçus avec retard diagnostique , source de morbidité et mortalité.
50
INTROD : traum duopanc =
= Urgence diagnostic et thérapeutique.
51
MÉCANISME :traum duopanc: type:
A- Traumatisme ouvert | B- Traumatisme fermé
52
MÉCANISME :traum duopanc: A- Traumatisme ouvert :
- Plaies par arme blanche : linéaires, peu étendues et atteignent peu d’organes voisins. - Arme à feu surtout à bout portant : dégâts plus importants, broiement et éclatement.
53
MÉCANISME :traum duopanc: B- Traumatisme fermé
(AVP+++) : -Lésions pancréatiques : . Ecrasement direct sur billot vertébral par traumatisme épigastrique. . Lésion par contrecoup avec projection du pancréas contre rachis ou l’arrachement de la queue. . Etirement transversal et rupture. -Lésions duodénales : moins fréquentes . Ecrasement direct sur billot vertébral par traumatisme épigastrique. . Arrachement par mouvement de décélération -> lésions vasculaires (hématomes intra-muraux), parfois déchirure de paroi. . Eclatement du cadre duodénal : par irruption du contenu gastrique ou augmentation brutale de pression intraluminale.
54
Dg :traum duopanc: A- Interrogatoire :.....+ tjr suspecter devant....
- Traumatisé : âge, ATCD. - Traumatisme : heure, contexte (AVP...), point d'impact, mécanismes. Toujours suspecter TDP devant tout traumatisme abdominal important, surtout si point d’impact épigastrique.
55
Dg :traum duopanc: B- Modes de révélation :
TDP à révélation précoce : rare - Douleur épigastrique, attitude antalgique en chien de fusil. - Emphysème sous-cutané postérieur (rupture duodénale). - Tableau de péritonite par rupture duodénale intra-péritonéale.
56
Dg :traum duopanc: B- Modes de révélation : | TDP à révélation tardive : intervalle + Tableaux:
TDP à révélation tardive+++ : après intervalle libre de plus 24h - Tableau péritonite secondaire - Tableau d’occlusion digestive haute - Tableau de pancréatite aiguë - Syndrome de suppuration profonde - Faux kystes du pancréas
57
Dg :traum duopanc: B- Modes de révélation : | TDP à révélation tardive : Tableau péritonite secondaire:
-Tableau péritonite secondaire : par rupture duodénale rétropéritonéale. Accentuation de douleur, devenant diffuse, ralentissement du transit, vomissements, fièvre, parfois état de choc. Examen abdominal : défense abdominale voire contracture.
58
Dg :traum duopanc: B- Modes de révélation : TDP à révélation tardive : Tableau d’occlusion digestive haute:
-Tableau d’occlusion digestive haute: par hématome intramural du duodénum. Vomissements incoercibles, déshydratation.
59
Dg :traum duopanc: B- Modes de révélation : TDP à révélation tardive : Tableau de pancréatite aiguë :
-Tableau de pancréatite aiguë : douleurs épigastriques violentes, vomissements, AEG contrastant avec pauvreté des signes physiques.
60
Dg :traum duopanc: B- Modes de révélation : TDP à révélation tardive : Syndrome de suppuration profonde :
-Syndrome de suppuration profonde : par rupture duodénale rétropéritonéale ou hématome infecté pancréatique. Douleur profonde, fièvre, AEG avec faciès terreux, ralentissement du transit, oligurie, choc septique.
61
Dg :traum duopanc: B- Modes de révélation : | TDP à révélation tardive : Faux kystes du pancréas :
-Faux kystes du pancréas : nécessite des mois voire années pour devenir cliniquement manifestes.
62
Dg :traum duopanc: C- Biologie :
- Bilan standard : groupage sanguin, NFS, bilan d’hémostase, ionogramme sanguin. - Lipasémie : l’augmentation oriente vers pancréatite aigüe post-traumatique. - Amylasémie : augmente après 3ème heure, peu sensible.
63
Dg :traum duopanc: D- Ponction-Lavage du péritoine :
- Si moyens d’imagerie non disponibles. | - Concentration élevée d’amylase dans liquide péritonéale oriente vers TDP mais reste non spécifique.
64
Dg :traum duopanc: D- Imagerie : but:
confirme diagnostic et précise gravité
65
Dg :traum duopanc: D- Imagerie : | 1- Radiographie thoracique :
pneumopéritoine, lésions thoraciques (pneumothorax...).
66
Dg :traum duopanc: D- Imagerie : 2- ASP :
pneumopéritoine, rétropneumopéritoine+++.
67
Dg :traum duopanc: D- Imagerie : 3- Echographie :
systématiquement demandée mais rarement contributive pour TDP, surtout lésions associées (hépatiques, spléniques).
68
Dg :traum duopanc: D- Imagerie : 4- TDM :
``` examen de référence+++ - Lésions pancréatiques : Aspect hétérogène ou élargissement du pancréas (œdème, contusions). Hématome intra- ou péri-pancréatique, rétropéritonéal. Ligne de fracture Pancréatite aigüe Faux kyste du pancréas - Lésions duodénales : Pneumopéritoine. Pneumorétropéritoine. Hématome intramural du duodénum. ```
69
Dg :traum duopanc: D- Imagerie : 5- IRM :
- Plus sensible et spécifique que TDM mais difficilement accessible. - Canal de Wirsung+++.
70
Dg :traum duopanc: D- Imagerie : | 6- CPRE (Cholangio-Pancreatographie Retrograde par voie Endoscopique) :
- Examen de référence pour l’étude du canal de Wirsung. - Intérêt diagnostique et thérapeutique (pose d’une prothèse). - Mais difficilement réalisable en urgence car nécessite une anesthésie générale.
71
Dg :traum duopanc: E- Exploration peropératoire : role
- Confirme diagnostic du TDP. | - Faire classification de Lucas : intérêt pronostique et thérapeutique
72
Dg :traum duopanc: E- Exploration peropératoire : classification de Lucas : stade I
I: Contusion/lacération pancréatique sans lésion Wirsung ni duodénum.
73
Dg :traum duopanc: E- Exploration peropératoire : classification de Lucas : stade II
II Lacération/perforation/section complète du corps et queue.
74
Dg :traum duopanc: E- Exploration peropératoire : classification de Lucas : stade III
III Ecrasement/perforation/section complète de tête du pancréas.
75
Dg :traum duopanc: E- Exploration peropératoire : classification de Lucas : stade IVa
IVa Atteinte duodénale et pancréatique, lésion pancréatique limitée.
76
Dg :traum duopanc: E- Exploration peropératoire : classification de Lucas : stade IVb
IVb Atteinte duodénale et pancréatique, lésions pancréatique sévère avec rupture du Wirsung.
77
CONC :traum duopanc:
- Souvent révélation après intervalle libre => retard diagnostique => mauvais pronostic. - TDM+++ (examen de référence).
78
PLAN: traum duopanc:
- INTROD: epidemio - mécanisme - Dg : interrog + clin + paraclin - Conc
79
INTROD: Péritonite AG: def+svt d'origine...+évolution
- Péritonite aigüe = inflammation aigue du péritoine. - Souvent secondaire à une infection. - Localisée puis généralisée.
80
INTROD: Péritonite AG = +++
= Urgence chirurgicale+++.
81
INTROD: Péritonite AG: Diagnostic positif=
- Diagnostic positif = clinique+++ (douleur abdominale intense, fièvre 40°, contracture abdominale), biologie (syndrome inflammatoire), imagerie (ASP, échographie, TDM).
82
Péritonite AG: Dg ÉTIOLOGIQUE : A- Etiologies :
Péritonites primitives Péritonites secondaires Péritonites tertiaires
83
Péritonite AG: Dg ÉTIOLOGIQUE : A- Etiologies :Péritonites primitives:
Origine hématogène ou translocation bactérienne, traitement médical : péritonite spontanée (infection d’ascite, tuberculose, dialyse péritonéale...).
84
Péritonite AG: Dg ÉTIOLOGIQUE : A- Etiologies : Péritonites secondaires :
Les plus fréquentes, perforation segment digestif ou biliaire, traitement médico-chirurgical+++ : - Perforation intra-péritonéale (appendicite, ulcère...). - Péritonite post-opératoire (lâchage d’anastomose...). - Péritonite post-traumatique (traumatisme fermé avec perforation digestive, plaie).
85
Péritonite AG: Dg ÉTIOLOGIQUE : A- Etiologies : Péritonites tertiaires:
Péritonite persistante souvent avec défaillance multiviscérale : péritonite sans germe, fungique ou germes opportunistes (patients immunodéprimés).
86
Péritonite AG: Dg ÉTIOLOGIQUE : B- Orientation étiologique : Péritonite primitive:
Contexte souvent évident (dialyse péritonéal, ascite...).
87
Péritonite AG: Dg ÉTIOLOGIQUE : B- Orientation étiologique : Péritonite tertiaire
Contexte particulier d’immunodépression (VIH...).
88
Péritonite AG: Dg ÉTIOLOGIQUE : B- Orientation étiologique : Péritonites secondaires: - Péritonite appendiculaire: .generalités . s.fonc . s.generaux .s.physiq .radiologique
- Cause la plus fréquente + Patient jeune. - Signes fonctionnels : douleur FID puis se généralise. - Signes de généraux de péritonite : fièvre, frissons, faciès terreux, crispé infecté, parfois signes choc septique (hypoTA, tachycardie, marbrures...), AEG. - Signes physiques de péritonite : ventre immobile, contracture abdominale, percussion très douloureuse, TR cri du Douglas - ASP : pas de pneumopéritoine Echographie, TDM
89
``` Péritonite AG: Dg ÉTIOLOGIQUE : B- Orientation étiologique : Péritonites secondaires: -Péritonite ulcéreuse: .genéralités .s.fonc .s.generaux .radiologique ```
-Seconde cause -ATCD maladie ulcéreuse, prise d’AINS. -Signes fonctionnels : douleur épigastrique en coup de poignard puis se généralise. -Signes de généraux et physiques de péritonite. ASP : pneumopéritoine. Echographie, TDM
90
``` Péritonite AG: Dg ÉTIOLOGIQUE : B- Orientation étiologique : Péritonites secondaires: -Péritonite colique: .genéralités .s.fonc .s.generaux .s.physiq .radiologique ```
-Péritonite grave car haute septicité -ATCD de sigmoïdite diverticulaire, cancer... -Signes fonctionnels : douleur FIG puis se généralise -Signes généraux et physiques de péritonite. -ASP : Pneumopéritoine Echographie, TDM
91
``` Péritonite AG: Dg ÉTIOLOGIQUE : B- Orientation étiologique : Péritonites secondaires: -Péritonite biliaire: .genéralités .s.fonc .s.generaux .s.physiq .radiologique ```
-Femme obèse+++, >50ans, ATCD lithiase. -Signes fonctionnels : douleur d’HCD puis se généralise. -Signes généraux et physiques de péritonite + ictère+++. -Echographie+++
92
``` Péritonite AG: Dg ÉTIOLOGIQUE : B- Orientation étiologique : Péritonites secondaires: -Péritonite d’origine génitale: .genéralités .s.fonc .s.generaux .s.physiq .dg svt posé... ```
- ATCD salpingite, endométrite, pyosalpinx, perforation utérine... - Signes fonctionnels : douleur d’hypograstre puis se généralise, leucorrhées, métrorragies. - Signes généraux et physiques de péritonite + touchers pelviens très douloureux à la mobilisation du col. - Diagnostic souvent posé à l’exploration chirurgicale.
93
``` Péritonite AG: Dg ÉTIOLOGIQUE : B- Orientation étiologique : Péritonites secondaires: -Péritonite post-opératoire: .generalites .dg évoqué devant: .paraclin ```
- Lâchage d’anastomose. - 5ème-7ème jour postopératoire. - Diagnostic difficile, évoqué devant : fièvre+++, symptômes extra-digestifs (troubles de conscience, insuffisance rénale...), arrêt ou retard du transit, écoulement purulent par drains ou cicatrice. - Hémocultures, culture de drains ou épanchements. - TDM+++.
94
Péritonite AG: Dg ÉTIOLOGIQUE : B- Orientation étiologique : Autres causes :
post-traumatique, après endoscopie, perforation tumorale gastrique...
95
Péritonite AG: TRAITEMENT : étapes+++
``` A- Hospitalisation B- Mise en condition C- Mesures de réanimation D- Traitement médical E- Traitement chirurgical ```
96
Péritonite AG: TRAITEMENT : B- Mise en condition :
VVP, monitorage (scope, TA, SpO2), VVC monitorage PVC, sonde gastrique (aspiration douce continue), sonde urinaire, bilan initial.
97
Péritonite AG: TRAITEMENT : C- Mesures de réanimation :
Défaillance respiratoire : oxygénothérapie voire intubation-ventilation. Défaillance cardiovasculaire : remplissage +/- drogues vasoactives.
98
Péritonite AG: TRAITEMENT : D- Traitement médical :
Antibiothérapie Parentérale, probabiliste à large spectre puis adaptée, durée 5-15 jours selon l’évolution. Augmentin®1gx4/j + aminosides Ou Ciflox®400mgx2/j + Flagyl®500mgx3/j +aminosides.
99
Péritonite AG: TRAITEMENT : E- Traitement chirurgical : constituants
1- Temps commun 2- Traitement étiologique 3- Surveillance postopératoire
100
Péritonite AG: TRAITEMENT : E- Traitement chirurgical : 1- Temps commun :
Abord large (laparotomie médiane). Exploration Prélèvement du liquide péritonéal pour étude bactériologique. Traitement étiologique, pas de suture en milieu septique+++. Toilette péritonéale large. Drainage large + fermeture.
101
Péritonite AG: TRAITEMENT : E- Traitement chirurgical : 2- Traitement étiologique :
-Ulcère duodénal : suture + éradication d’HP (IPP + antibiotique) +/- vagotomie, pyloroplastie. -Ulcère gastrique : biopsies + suture + éradication d’HP +/- ulcèrectomie (doute sur cancer) + surveillance endoscopique+++. -Péritonite appendiculaire : appendicectomie. -Péritonite biliaire : cholécystectomie +/- drainage VBP. -Péritonite colique : JAMAIS D’ANASTOMOSE EN MILIEU SEPTIQUE => colectomie + colostomie ou Hartmann. -Péritonite génitale : salpingite (traitement médical + drainage de Douglas)...
102
Péritonite AG: TRAITEMENT : E- Traitement chirurgical : 3- Surveillance postopératoire :
Prophylaxie anti-ulcéreuse et anti-thrombotique. Clinique : douleur, température, cicatrice, drains, stomies, reprise du transit. Biologie : NFS, fonction rénale, GDS...
103
CONCLUSION :Péritonite AG:
- Urgence vitale, étiologies diverses. | - Principes du traitement identiques (réanimation, ATB, toilette et drainage...).
104
PLAN:Péritonite AG:
- INTROD: def+gener - Dg etio: etiologies+orientation etio - ttt - conc
105
INTROD: AAA: def=.....+fréq et siege
- Anévrysme de l’aorte abdominale (AAA) = dilatation focale, permanente du calibre de l'aorte dont diamètre dépasse d’au moins 50% la valeur normale avec perte de parallélisme des parois. - Le plus fréquent des anévrysmes artériels. - AAA sous-rénale principal siège.
106
INTROD: AAA: risque....augm avec...=+++
- Risque de rupture augmente avec diamètre = Urgence vitale.
107
INTROD: AAA: cause svt/rarement
- Terrain polyartériel, souvent entre dans cadre maladie athéromateuse (coronaires, carotides...). - Rarement : forme familiale, secondaire à dystrophie héréditaire (Marfan), infections, aortite inflammatoire (Takayasu, Horton, Behçet).
108
AAA: PATHOGENIE :
4 hypothèses Hypothèse génétique : formes familiales, âge plus jeune. Hypothèse protéolytique : déficience en élastine ou collagène. Hypothèse métallique : cuivre. Hypothèse mécanique ou hémodynamique : forte proportion à l'étage abdominal au niveau de bifurcation :turbulence du sang vu le passage d'un calibre important (aorte) => calibre plus petit (A. Iliaque).
109
AAA: ANATOMOPATHOLOGIE :
-Selon la forme : . Anévrisme fusiforme dilatation intéressante toute la circonférence de la paroi de l'aorte . Anévrisme sacciforme dilatation d'une partie -Selon la paroi : . Vrai anévrisme : la paroi de l'aorte dilatée est faite de toutes les couches de la paroi artérielle : intima, média, adventice. . Faux anévrisme : au cours d'un processus inflammatoire.
110
AAA: ETIOLOGIES :
A. athéroscléreux+++ A. inflammatoire 10% A. infectieux 5% A. dystrophiques Affection héréditaire du tissu conjonctif : Marfan. Autres : . A. disséquant=solution de continuité de la paroi de l'aorte, le sang chemine entre les différentes couches de la paroi => faux anévrisme. . Dissection : rupture couche : intima média + clivage paroi artérielle
111
AAA: HISTOIRE NATURELLE :
- Distension est inexorable, mais imprévisible, vitesse de croissance dépend du diamètre - Le risque de rupture est corrélé au diamètre, - Intérêt de la surveillance
112
Dg: AAA: A-Clinique : 1-Circonstances de découverte :
-Asymptomatique+++ (souvent) Fortuite par palpation abdominale, échographie, TDM/IRM, ASP (calcifications) pour autre pathologie. Dépistée chez sujets à risque (homme >65ans et tabagique, athérosclérose ou ATCD familiaux d’AAA). -Symptomatique -Complication
113
Dg: AAA: A-Clinique :2-TDD =
=AAA symptomatique non compliqué
114
Dg: AAA: A-Clinique : AAA symptomatique non compliqué: a-Interrogatoire :
- ATCD cardio-vasculaires, - FDRCV (âgé, homme, tabagisme, HTA, diabète, obésité, dyslipidémie), - ATCD familiaux d’AAA, Marfan, aortite inflammatoire.
115
Dg: AAA: A-Clinique : AAA symptomatique non compliqué: a.Interrogatoire : s.fonc:
-Douleur+++ lombaire, sciatique, rarement colique néphrétique: Caractère douloureux fait craindre rupture imminente ....:Transféré d’URGENCE vers centre de chirurgie vasculaire.
116
Dg: AAA: A-Clinique : AAA symptomatique non compliqué: b.Examen clinique :
- Inspection : rarement voussure battante (maigre). - Palpation : masse abdominale médiane ou latéro-ombilicale gauche, battante, expansive+++, signe De Bakey+ si localisation sous-rénale (possibilité de glisser bord cubital entre pôle supérieure d'anévrisme et rebord costal gauche). - Auscultation : souffle. - Examen général : cardiovasculaire, autres localisations (poplité++).
117
Dg: AAA: A-Clinique : AAA symptomatique non compliqué: B-Paraclinique : 1-Échographie abdominale :
− Caractériser l’anévrisme (taille, étendue, thrombus) − Complication : compression, rupture, épanchement. − Dépistage et suivi+++.
118
Dg: AAA: A-Clinique : AAA symptomatique non compliqué: B-Paraclinique : 2-TDM abdominale
C+ : examen de référence − Confirme diagnostic, autres localisations (TDM TAP). − Bilan précis (mensuration, thrombus, calcification). − En urgence si complication (rupture+++). − Bilan de traitement endovasculaire. − Limites : PC allergie ou insuffisance rénale.
119
Dg: AAA: A-Clinique : AAA symptomatique non compliqué: B-Paraclinique : 3-Angio-IRM :
si IR.
120
Dg: AAA: A-Clinique : AAA symptomatique non compliqué: B-Paraclinique : 4-Artériographie :
n'a plus d’indication
121
Dg: AAA: A-Clinique : AAA symptomatique non compliqué: B-Paraclinique : 5-Biologie :
syndrome inflammatoire (AAA infectieux ou inflammatoire), hémocultures (AAA infectieux).
122
Dg: AAA: A-Clinique : AAA symptomatique non compliqué: B-Paraclinique : 6-Bilan de maladie athéromateuse et comorbidités :
TA, GAJ, bilan lipidique, ECG, ETT, Echodoppler troncs supra-aortiques et MI, fonction rénale, radio thorax.
123
Dg: AAA: FORMES CLINIQUES :
A- Formes compliquées | B- Formes étiologiques
124
Dg: AAA: A- Formes compliquées :
- Anévrisme rompu - Thromboembolies - Compressions
125
Dg: AAA: A- Formes compliquées : -Anévrisme rompu :
= URGENCE Douleur abdominale ou lombaire, choc hémorragique. Rupture rétropéritonéale+++, parfois intra-péritonéale, fistule aorto-digestive ou aorto-cave.
126
Dg: AAA: A- Formes compliquées : -Thromboembolies :
embolisation MI (ischémie aigue/chronique, parfois embolie des cristaux de cholestérol (sd d’orteil bleu)), thrombose totale d’anévrisme.
127
Dg: AAA: A- Formes compliquées : -Compressions :
3ème duodénum (occlusion), uretères (lombalgies, hydronéphrose), troncs veineux (OMI, TVP).
128
Dg: AAA: B- Formes étiologiques :
- Anévrisme inflammatoire | - AAA infectieux
129
Dg: AAA: B- Formes étiologiques : | -Anévrisme inflammatoire :
= "10%" Etiologie : Behcet, Takayashu, Horton Clinique : Douleur, amaigrissement, anorexie. Complication compressives+++. Biologie : syndrome inflammatoire (VS, CRP) TDM et IRM : aspect en « cocarde » Particularités thérapeutiques
130
Dg: AAA: B- Formes étiologiques :-AAA infectieux :
- Septicémie (spondylodiscite, adénite, Osler). - Douleur +/- syndrome infectieux. - Risque rupture élevé. - Diagnostic par imagerie + biologie (hémocultures++).
131
TRAITEMENT :AAA: constituants
``` A. Traitement médical B. Mesures de réanimation D. Surveillance E. Traitement Chirurgical F. Autre gestes ```
132
TRAITEMENT :AAA: A. Traitement médical :
− PEC FDRCV (tabac, diabète...) − Contrôle d’HTA+++, antiagrégant, statine (systématiques) − Antibiotiques (AAA infectieux) − Corticoïdes (AAA inflammatoire)
133
TRAITEMENT :AAA: B. Mesures de réanimation
si rupture
134
TRAITEMENT :AAA: D. Surveillance :
anévrismes sans indication chirurgicale par échographie.
135
TRAITEMENT :AAA: E. Traitement Chirurgical : | − Objectif =
=prévenir rupture.
136
TRAITEMENT :AAA: E. Traitement Chirurgical : | − Traitement chirurgical conventionnel :
Voie transpéritonéale laparotomie ou rétropéritonéale, voie mini-invasive (laparoscopie). Principe : mise-à-plat–greffe Clampage aortique, ouverture coque d’AAA, ablation thrombus, suture du tube prothétique (Dacron ou PTFE) au-dessus et en-dessous d’anévrisme pour reconstruire l’aorte.
137
TRAITEMENT :AAA: E. Traitement Chirurgical : | − Traitement endovasculaire
(endoprothèse) surtout si risque opératoire élevé ou anatomie favorable.
138
TRAITEMENT :AAA: E. Traitement Chirurgical : | -indications:
-Morphologie : • Taille≥ 50mm ou double d'aorte sus-jacente • Sacciforme (risque rupture augmente) • Artériopathie proximale sténosante ou occlusive • Anévrisme iliaque -Anévrisme compliqué -Évolution : augmente 1cm/an. -Etiologies : AAA infectieux, inflammatoire (Behçet+++).
139
TRAITEMENT :AAA: F. Autre gestes :
PEC d’ischémie aigue MI, fistule aorto-cave...
140
CONCLUSION :AAA:
- AAA localisation la plus fréquente d’anévrysme. - Risque de rupture : pronostic vital. - Traitement chirurgical + PEC FDRCV au long terme.
141
PLAN: AAA:
- introd: def+general - pathogenie - anapath - etio - histoire naturelle - Dg positif - TTT - conc
142
INTROD: occlus colon= - ....%.. - ...selon... - entraine...
- Arrêt complet et permanent du transit. - Les occlusions du côlon représentent 20 % des occlusions intestinales. - Affection polymorphe, varie selon le siège, le mécanisme, et la présence d’une complication. - Entraîne souvent une déshydratation.
143
occlus colon: Dg POSITIF : 1- Interrogatoire :
- Antécédents de pathologie néoplasique, inflammatoire, terrain vasculaire, rectorragies et diverticulose sigmoïdienne connue.
144
occlus colon: Dg POSITIF : 2- Signes fonctionnels :
- Douleur souvent progressive, siège variable, sans irradiation et paroxystique. - Nausées et vomissements rares, et tardifs. - Arrêt net des matières et des gaz.
145
occlus colon: Dg POSITIF : 3- Signes généraux :
- Ils sont fonction surtout du délai écoulé. | - Occlusions coliques : état général longtemps bien conservé.
146
occlus colon: Dg POSITIF : 4- Signes physiques : | - Inspection :
* Météorisme précoce, important qui dessine le cadre colique. * Péristaltisme intestinal (sujet maigre).
147
occlus colon: Dg POSITIF : 4- Signes physiques : | - Palpation :
* Orifices herniaires. * Rechercher une défense témoignant d’une souffrance intestinale et une masse abdominale éventuelle pouvant orienter le diagnostic.
148
occlus colon: Dg POSITIF : 4- Signes physiques : | - Percussion :
tympanisme.
149
occlus colon: Dg POSITIF : 4- Signes physiques : | - Ausculation :
tonalité des bruits hydro-aériques augmentée si obstruction, et abolie si strangulation.
150
occlus colon: Dg POSITIF : 4- Signes physiques : | +++
- Toucher rectal : tumeur de la charnière recto-sigmoïdienne.
151
occlus colon: Dg POSITIF : 5- Biologie :
- Apprécie la déshydratation : NFS, ionogramme, bilan rénal. | - L’acidose métabolique fait craindre des lésions ischémiques et/ou une complication septique.
152
occlus colon: Dg POSITIF : 6- Imagerie : examens
- Abdomen sans préparation - Scanner - Lavement - Colonoscopie ou rectosigmoïdoscopie
153
occlus colon: Dg POSITIF : 6- Imagerie : | - Abdomen sans préparation :
* Niveaux hydro-aériques, plus hauts que larges, périphériques. * Pneumopéritoine : témoin d’une perforation tumorale diastatique.
154
occlus colon: Dg POSITIF : 6- Imagerie : | - Scanner :
confirme l’occlusion, la localise, recherche l’étiologie, et les signes de gravité.
155
occlus colon: Dg POSITIF : 6- Imagerie : - Lavement :
moins fréquemment utilisé : | • Précise le siège de la sténose, évoque parfois le diagnostic étiologique.
156
occlus colon: Dg POSITIF : 6- Imagerie : | - Colonoscopie ou rectosigmoïdoscopie :
contre-indiquée en cas d’occlusion aiguë vu le risque de perforation. Leur indication doit se limiter au but thérapeutique et pour les occlusions chroniques.
157
occlus colon: Dg étio: mécanismes:
A- Mécanique par obstruction B- Mécanique par strangulation C- Fonctionnelle
158
occlus colon: Dg étio: A- Mécanique par obstruction: | étio sont
1- Cancer colo-rectal 2- Diverticulose sigmoïdienne 3- Fécalome 4- Corps étrangers
159
occlus colon: Dg étio: A- Mécanique par obstruction: | 1- Cancer colo-rectal =
première cause. - Tableau progressif, précédé de vagues de douleurs abdominales et des rectorragies. - Le scanner est l’examen de choix.
160
occlus colon: Dg étio: A- Mécanique par obstruction: | 3- Fécalome :
- Recherchée par TR. - Occlusion incomplète (fausses diarrhées de constipation ou pseudo-incontinence). - Facteurs de risque (FDR) : pathologie proctologique, état grabataire, alitement.
161
occlus colon: Dg étio: A- Mécanique par obstruction: | 4- Corps étrangers :
- ASP +++.
162
occlus colon: Dg étio: B- Mécanique par strangulation: étio sont
1- Volvulus du sigmoïde | 2- Voluvulus du caecum : Rare.
163
``` occlus colon: Dg étio: B- Mécanique par strangulation: 1- Volvulus du sigmoïde : - -FDR: -clin: ```
- Principalement les sujets âgés. - FDR : mégadolicho-sigmoïde, insertion du méso courte - Douleur abdominale vive de la fosse ilaque gauche.
164
occlus colon: Dg étio: B- Mécanique par strangulation: 1- Volvulus du sigmoïde : -ASP: -TDM:
- ASP : tour de spire souvent visualisé, NHA et image en arceau. - TDM : distention del’anse sigmoïdienne remontant vers l’hypocondre droit + tour de spire.
165
occlus colon: Dg étio: C- Fonctionnelle =....++
Syndrome d’Ogilvie +++ :
166
occlus colon: Dg étio: C- Fonctionnelle: Syndrome d’Ogilvie: - FDR: - clin: - imagerie:
- FDR : post-opératoire, hospitalisation en réanimation, troubles ioniques, idiopathique. - Distention abdominale majeure, diffuse, douleur ambdominale modérée ou absente, tympanisme, sans bruit hydro-aérique, pas de signes péritonéaux. - TDM : absence d’obstacle.
167
occlus colon: TRAITEMENT : moyens
A- Médical B- Chirurgical C- Endoscopique D- Traitement étiologique
168
occlus colon: TRAITEMENT : A- Médical :
- Hospitalisation en urgence à jeun. - Voie veineuse périphérique. - Antalgiques et antispasmodiques. - Correction d’une déshydratation, des troubles ioniques, et d’une hypotension (remplissage). - Sonde naso-gastrique en aspiration
169
occlus colon: TRAITEMENT : B- Chirurgical : - en cas de : - consiste à...
- Opérer rapidement en cas de complications, mauvaise tolérance clinique, absence d’amélioration avec le traitement médical, signes de gravité (fièvre, hyperleucocytose, choc, défense ...). • Explorer la cavité abdominale. • Prélever les épanchements pour examen bactériologique. • Lever l’occlusion ou décomprimer le segment d’amont avec une stomie. • Traiter une complication.
170
occlus colon: TRAITEMENT : C- Endoscopique :+++
- Dévolvulation d’un volvulus. - Prothèse trans-tumorale. - Sondage rectal si syndrome d’Ogilvie.
171
occlus colon: TRAITEMENT : D- Traitement étiologique: | - Corps étranger :
entérotomie afin d’extraire le CE.
172
occlus colon: TRAITEMENT : D- Traitement étiologique: | - Volvulus :
tentative de réduction du volvulus.
173
occlus colon: TRAITEMENT : D- Traitement étiologique: | - Fécalome :
le plus souvent, lavements répétés avec de l’eau tiède et de la vaseline.
174
occlus colon: TRAITEMENT : D- Traitement étiologique: | - Tumeur :
traitement en fonction du stade.
175
occlus colon: TRAITEMENT : D- Traitement étiologique: | - Syndrome d’ogilvie :
• Traitement d’un éventuel facteur favorisant (hypokaliémie ...) et des troubles secondaires à l’occlusion. • Mise en place d’un tube de Faucher pour limiter la distension colique. • Et / ou : prostigmine. • Coloscopie d’exsuflation si le traitement médical n’a pas été efficace et si le diamètre du caecum > 11cm. En cas d’echec : chirurgie.
176
CONLUSION :occlus colon:
- Mesures de réanimation en urgence. - Palpation des orifices herniaires pour ne pas passer à côté d’une hernie étranglée. - Le traitement commence toujours par un traitement médicale.
177
PLAN: occlus colon:
``` INTROD Dg positif Dg étio TTT conc ```
178
INTROD: stenose pep: = | -
- La sténose peptique de l’œsophage est une complication rare, mais grave du RGO chronique, définie par l’impossibilité du passage ou un passage difficile, à « frottement dur » de l’endoscope. - Dysphagie : maître symptôme.
179
INTROD: stenose pep: - ....importance... - ....thérapeutique....
- La FOGD associée à la biopsie et le TOGD : importance capitale dans le diagnostic de certitude, et le choix du traitement. - La dilatation endoscopique associée au traitement anti-sécrétoire constitue la principale thérapeutique, mais parfois la chirurgie devient obligatoire.
180
stenose pep: Dg POSITIF :A-Symptomatologie clinique : sont
1-Dysphagie : 2-Pyrosis 3-Perte pondérale 4-Signes extra-œsophagiens :
181
stenose pep: Dg POSITIF :A-Symptomatologie clinique : | 1-Dysphagie =
maitre symptôme - Progressive, marquée pour les solides au début, et pourrait entraîner une aphagie par obstruction complète de la lumière œsophagienne.
182
stenose pep: Dg POSITIF :A-Symptomatologie clinique : 4-Signes extra-œsophagiens :
en rapport avec le reflux et non pas avec la sténose peptique: -Douleur thoracique, toux chronique et asthme.
183
stenose pep: Dg POSITIF :B-Examens complémentaires : sont
``` 1-FOGD + 2-Biopsies -Examens morphologiques : a-TOGD : b-TDM : -Explorations fonctionnelles œsophagiennes : a-Manométrie œsophagienne : b-pH-métrie : ```
184
stenose pep: Dg POSITIF :A-Symptomatologie clinique : | 1-FOGD =
examen clé - Précise les caractéristiques de la sténose : siège, étendue et calibre de la sténose. - Met en évidence les lésions associées : EBO, HH, érosions, ulcères témoignant d’un reflux. - Elimine un cancer en guidant les biopsies. - Classer les sténoses en fonction du franchissement de l’endoscope : sténose légère, modérée et sévère.
185
stenose pep: Dg POSITIF :A-Symptomatologie clinique : | 2-Biopsies :
systématiques, profondes et étagées +Etude histologique (cellules néoplasiques ou lésions de dysplasie).
186
stenose pep: Dg POSITIF :A-Symptomatologie clinique : | 3-Examens morphologiques : a-TOGD :
- Caractéristiques de la sténose : siège, longueur, diamètre. - Longueur de l’œsophage - Lésions associées.
187
stenose pep: Dg POSITIF :A-Symptomatologie clinique : 3-Examens morphologiques : b-TDM :
pas de place dans le diagnostic.
188
stenose pep: Dg POSITIF :A-Symptomatologie clinique : 4-Explorations fonctionnelles œsophagiennes : a-Manométrie œsophagienne :
Si suspicion des troubles de motricité œsophagienne
189
stenose pep: Dg POSITIF :A-Symptomatologie clinique :4-Explorations fonctionnelles œsophagiennes : b-pH-métrie :
si diagnostic de RGO douteux
190
stenose pep: Dg DIFFERENTIEL : =>..
=> Dysphagie - Cancer de l’œsophage - Achalasie idiopathique - sténose Radique - sténose caustique - L’œsophagite médicamenteuse - L’œsophagite infectieuse - Sclérodermie - syndrome de Zollinger-Ellison
191
stenose pep: TRAITEMENT: sont
1-dilatation endoscopique : 2-Traitement médical : 3-Traitement chirurgical :
192
stenose pep: TRAITEMENT: 1-dilatation endoscopique =
augmenter le diamètre de la sténose, afin d’améliorer la dysphagie . Les bougies de Savary-Gilliard : . Les ballonnets hydrostatiques :
193
stenose pep: TRAITEMENT: 1-dilatation endoscopique : | . Les bougies de Savary-Gilliard :
* Endoscope à la partie haute de la sténose, un fil guide est introduit dans le rétrécissement. * Après le passage libre du fil dans l’estomac, l’endoscope est retiré * Sur le fil guide les bougies de calibre croissant sont successivement descendus. * Vérification radiologique de la bonne position du fil guide et le passage des bougies.
194
stenose pep: TRAITEMENT: 1-dilatation endoscopique : | . Les ballonnets hydrostatiques :
*De longueur adaptée au rétrécissement, il est introduit par le canal opérateur de l’endoscope dans la sténose et gonflé par l’eau pendant 2 minutes, cette manœuvre est répétée 3 fois de suite.
195
stenose pep: TRAITEMENT: 1-dilatation endoscopique : | . Les ballonnets hydrostatiques : risque+indic
* Risque : perforation ou hémorragie mais rares | * Indications : sujets âgés ou inopérables
196
stenose pep: TRAITEMENT: 2-Traitement médical : constituants
a-Mesures hygiéno-diététiques : | b-Anti-sécrétoires () :
197
stenose pep: TRAITEMENT: 2-Traitement médical : | a-Mesures hygiéno-diététiques :
- Suppression des toxiques : tabac, l’alcool, et certains médicaments diminuant le tonus du SIO. - Mesures alimentaires : Eviter les repas riches en graisses, chocolat, café. Fractionner les repas qui doivent être peu volumineux. Dîner le moins tard possible. Régime hypocalorique (surcharge pondérale). - Mesures mécaniques : éviction de l’antéflexion, le décubitus postprandial précoce, et les efforts à glotte fermée après les repas.
198
stenose pep: TRAITEMENT: 2-Traitement médical : | b-Anti-sécrétoires=
(IPP) : | Oméprazole gélule 20 mg en une prise quotidienne.
199
stenose pep: TRAITEMENT: 3-Traitement chirurgical =
- Suppression chirurgicale du reflux associée aux dilatations peropératoires par courte gastrotomie ou préopératoire par dilatation endoscopique. - Résection de la sténose :
200
stenose pep: TRAITEMENT: 3-Traitement chirurgical : | - Résection de la sténose : indications
rares indications . Sténose longue, sténose du 1/3 moyen ou supérieur de l’œsophage. . Présence de dysplasie ou lésions malignes . Présence d’ulcère creusant qui contre-indique la dilatation.
201
stenose pep: TRAITEMENT: 3-Traitement chirurgical : | - Si échec :
diversion duodénale : vagotomie tronculaire, gastrectomie des 2/3 et anastomose gastroduodénale
202
stenose pep: TRAITEMENT: 3-Traitement chirurgical : | - Indication :
sujet jeune
203
CONCLUSION :stenose pep:
La dilatation endoscopique associée au traitement anti-sécrétoire constitue la principale thérapeutique, mais parfois la chirurgie devient obligatoire.
204
PLAN: stenose pep:
``` introd: def+gener Dg positif Dg differ TTT conc ```